photo THÉÂTRE : Pépites

THÉÂTRE : Pépites

Vie locale

Glisy 80440

Le 18/12/2025

CORRESPONDANCES Théâtre À PARTIR DE 12 ANS C'est l'histoire d'une rencontre. Un jour, Léo et Mia se heurtent accidentellement dans un parc. Ça commence bien mal entre les deux adolescents. Il leur faudra du temps pour tisser un lien singulier et intense. Mia est plutôt renfermée sur elle-même : le chagrin et la colère l'emportent sur les mots. Léo, lui, « tombe » tout de suite curieux de Mia. Petit à petit, il l'initie aux pépites que sa grand-mère lui a appris à déguster : ces doux silences qui se glissent entre deux êtres et qui font du bien. Autour d'un banc public, en une suite de scènes courtes aux dialogues ciselés, Mia et Léo dévoilent leurs histoires, leurs craintes, leurs envies. Sous le nom de pépites, Marion Bonneau propose à ses lecteurs une leçon de philosophie, douce comme un bonbon. La revue des livres pour enfants ÉCRITURE ET MISE EN SCÈNE : Marion Bonneau | AVEC : Juliette Castro et Jérémy Torres | SCÉNOGRAPHIE : Andra Badulesco Visniec COSTUMES : Sausen Mustafova | LUMIÈRES : Stéphanie Daniel | CRÉATION MUSICALE ET SONORE : Glaze Furtivo ADMINISTRATION : Tiffany Mouquet | PRODUCTION : Compagnie Correspondances | COPRODUCTION : Comédie de Picardie. SOUTIENS[...]

photo Orchestre de Picardie - Concert de Noël

Orchestre de Picardie - Concert de Noël

Musique, Concert

Abbeville 80100

Le 19/12/2025

La ferveur des airs extraits de l’Oratorio de Noël de Bach, le calme enchantement du fameux "Sulla sua pace" du Don Giovanni… On trouvera difficilement voix plus sensible que celle du jeune ténor allemand Alioscha Lennert pour illuminer le concert de Noël. La Sérénade pour cordes de Tchaïkovski (1880) en ouverture de programme est conçue une véritable symphonie. En seconde partie, la juvénile Symphonie en la mineur (1859) de Saint-Saëns a d’autres qualités. Classique de forme mais romantique en diable, l’oeuvre fourmille d’idées personnelles, tout en révélant un sens de la profondeur narrative étonnante chez le musicien de vingt-quatre ans. Et c’est aux accents fédérateurs entre tous de La Marche des rois -dans l’inoubliable version qu’en fit Bizet pour son Arlésienne- que se conclura ce très beau concert.